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Ussía no oculta su “decepción mayúscula” con Rajoy: “España va de culo”

Alfonso Ussía (Foto: La Razón)
Alfonso Ussía (Foto: La Razón)

Le reprocha su falta de personalidad, las promesas incumplidas, que tenga a los ciudadanos "jodidos" mientras mima a los separatistas y deja en la calle a los etarras....

miércoles 22 de octubre de 2014, 11:21h

Alfonso Ussía es el verso suelto de La Razón. Sus bofetadas a Mariano Rajoy van subiendo de tono y para que quede más fino lo que le tiene que decir, lo hace en francés: “L’Espagne va de cul”. Así de claro, tanto que no necesita ni traducción.

En su opinión, España, “nuestra Patria”, subraya, “se va al carajo, al quinto coño, a la porra”. La culpa la tiene principalmente Mariano Rajoy (Mariane de Rajois), que ha provocado una “decepción mayúscula”: “Promesas electorales al cubo de la basura. Sin ninguna personalidad ni firmeza. Una falta de empatía y convicción en su discurso preocupante. Los terroristas en la calle. Los separatistas, mimados. Los ciudadanos, plenamente jodidos. Nos irrita el retambufo. España va de culo”.

No es el único damnificado. Reprocha a Montoro que tenga “cogidos por los cojones a los más débiles” mientras no se le ocurre molestar a los “millonarios con sociedades interpuestas” o a “rentistas que jamás han pegado un palo al agua”.

Reproducimos por su interés el artículo de Ussía publicado este jueves en La Razón:

De cul
Une fois chaque anne, et pour un simple desire de vanité, mon article se redacte en français. Demostration de ma facilité pour ecrire en tous les langues. Aujourd´hui le téme en concrete que plus me preocupe est, sans doute aucune, la absence de capacité de reaction de les membres de le Goubernement espagnol et son partie politique contre les amenaces separatistes de basques et catalans. Avec les coujenettes de cravate, les oeufs disparus, le ministre de l´Interieur, monsieur de Fernandes, concedé la liberté provisionel par raisons humanitaires a le terroriste Bolinague, malade d’un cancer terminel. Actuelment, le malade Bolinague mostre un etat de santé envidiable, s´agarre unes trompes descomununelles en compagnie de ses amies, mange avec une apetite fabuleuse et avoir engordé de tal maniére que parait un cochon, un porc et aussi, un marrane. Simultáneament, a meme temp, le asassin De Jeane Chaos y le criminel Josú Terniére, se despelotent depuis son paradises de refuge a coste de tous les citoyens espagnoles. Bien, bien, ¡voilá!

En secrét, le President Mariane de Rajois, a recú a le palais de la Monclove a le President de l´autonomie de Catalogne, monsier Arture Plus. Monsieur Plus etait firmement decidé a organiser une consulte non legal avec le fin de declarer l´independence de la Catalogne, o lo que est egal, de les provinces de Barcelone, Tarragone, la Leride et Gerone. Monsieur Plus se passé de la langue dans la campagne electorel et como dit la sentence populaire espagñole, «a bonnes heures, mangues verts». Son probléme es la caisse. Il ni avait ni une pute euro, et precise de la financiation de L´Etat, mais non le sale de le güite renonçer a son plain separatiste. Une embrouillement de pére et beaucoup monsieur mois.

Bien, bien ¡voilá!

Par outre part, le Goubernement de l´Espagne sufre et padéce de l´acose violent de une multitude de gauchistes que en temps de la administration

–par dire quelque chose–, socialiste, ont´etait completment en silence et couchettes en ses chambres. Les sindicates, comandés pour le monsieurs Toxó et Mendes, organisent chaque deux par trois, toute clase de manifestations, mais le Goubernement mantiéne les soubventions millonaires a cette group de gorrons profesionelles. Un Goubernement clairment cobardique et blande comme un ballon de gomme. De la gomme plus fragíle, pour être sinceres. Complexe d´inferiorité. Bien, bien, ¡voilá!

A cette passe, l´Espagne, notre Patrie, notre pays, notre nation, s´irá a le caraje, a le quinte chichí, a la porre. La jeunesse emigre, les impots son insopourtables, et le ministre de le Trésor, monsieur le Montoire, seulment avait agarré par le coujons a les plus debiles, en tanto que a les millonaires de societés interpostes et a les rentistes que jamais han pegué avec un pal al eau, non les moléste. Non toute est la economie. Mais le Goubernement espagnol parait socialiste, y de continuer ainsi, le va a voter dans les urnes en la prochaine ocasión sa tante, son pére, sa mére et son fils. Moi, non. Bien, bien, ¡voilá!

Conclusion: Deception mayuscule. Promises electorelles a le cube de la basúre. Aucune personalité et firmesse. Une falte de simpatié et conviction en le discours, preocupant. Le terroristes en la rue. Les separatistes, mimés. Les citoyanes, plainement jodís. Nous avons irrité la retambufe. L´Espagne va de cul.

Fuente: elplural.com | 11/04/2013

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